Non, je ne vous oublie pas ! M'enfin je suis un peu overbooked là.
Allez, une petite vidéo de geek love song. Marrant, moi Mario Kart je voyais ça comme une apologie de la conduite sous substances hallucinogènes. Comme quoi c'est subjectif. Kudos au compositeur quand même.
Hey, it's-a-me, Mario ! - Eeek
The finish line
is just around the bend
I'll pause this game
so our love will never end
Let's go again
Blinktwice4y - Mario Kart Love Song
Monsieur K. rêve de jouer au ping-pong avec Dieu.
J'ai ajouté Dieu sur Facebook.
C'est (avec, entre autres avantages comme celui d'avoir le droit de toujours courir en France) un des privilèges d'être du peuple élu. Que vous ayez voté m'importe d'ailleurs peu. Ceci étant dit, il paraîtrait que même les autres ont accès à FB. Comme quoi... Vous pouvez l'appeler Adonaï. Ou Maurice, au choix. J'ai cru comprendre qu'il préférait le second, d'ailleurs. Maurice, donc, a décidé de modifier (en partie) sa campagne de communication. D'où création de blog. Sur les conseils du petit, apparement ça améliore les market share et cash flows. On y parle de sa passion du ping-pong, et de ses diverses expériences de création du monde. Et il écrit bien, le con (on sent qu'il a un peu bossé depuis son premier livre, gros succès de libraire mais que j'ai trouvé encore plus dense que du Tolkien sous anxyolitiques, c'est dire). Bref, ça me fait marrer, alors je vois pas pourquoi je me priverais.
D'ailleurs c'est pas mon genre de se priver. Donc en ce moment, j'écoute plein de trucs à la fois, et surtout le fameux Get Psyched Mix du seul et unique Barney Stinson. Parce que même quand c'est pas le nouvel an, il faut bien rester "pomped up". Egalement sur liste Dark Horse, le dernier Nickelback. Beaucoup de bon à mes petites oreilles, dont les excellents Next Go Round, Burn It To The Ground, S.E.X., The Afternoon. On retrouve l'ambiance sex, frat parties'n rock'n roll qui m'ont fait aimer Animals ou Figured You Out. Rock mainstream, soit (et encore on est loin de How you Remind Me), mais quand il est bien fait et bien produit, je ne vois pas où est le problème. Recommandé, donc.
Pour finir, quelques remixes de Dirty Funker, trouvé grace à HypeMachine (Cf. l'utile et joli petit widget qui est sur votre gauche, c'est pas installé pour les chiens). Attention par contre à la reprise de Come As You Are que j'ai pas trouvé terrible du tout (mais j'ai l'air de pas être le seul). Stay tuned sur le widget pour des petites fresheries musicales.
Sinon, si vous n'avez pas Youtubé récemment, le 22 novembre avait lieu le Youtube Live !, soit la première émission Youtube diffusée en streaming. Une guest list de fou, avec du mainstream Will.I.Am, Joe Satriani, Mike Relm (kudos pour la super performance avec les vidéos du sponsor Lionsgate)...et Chad Vader, Tay Zonday, le Will it blend ? guy, Funtwo (en duo avec Satrani), les Mythbusters... Bref, vous voyez le truc. Et puis, 700 000 spectateurs en streaming live, c'est une performance en soi.
J'ai bien regardé l'évènement. Alors oui, y'a du bon et du moins bon. Y'a du Soulja Boy. Y'a le fait qu'ils n'aient pas uploadé une version HQ des sketches une fois l'évènement fini (c'est Youtube, quoi, merde.). Y'a qu'ils ont du choisir un casting de V.I.P. de l'Internet pour faire les premiers rangs, et qu'au lieu d'avoir une foule motivée à même de soutenir les performances à fond, on se retrouve avec 400 mecs qui lèvent leur iPhone pour filmer. Mouais. Faut privilégier l'ambiance les enfants. Toujours coller des ados devant. Y'a que tout n'était pas super super bien reglé, non plus (petites erreurs de Funtwo, des gosses qui stackent les cup, toussa)
Mais au final l'évènement respire le bon enfant des nerds qui se retrouvent devant tout le monde à faire les malins, et rien que pour ça, je valide. C'est du tatonnement vers, peut-être, une explosion du contenu d'émissions télés à gros contenu (plus que des vlog ou podcasts, quoi) à destination du web et uniquement du web. Le live (avec une intelligente intégration de la pub, cf. Mike Relm) + la consultation de vidéos après, les backstages, interviews bonus, etc. Le succès de la représentation ne se mesure pas qu'à l'audience live immédiate. Bref, je pense que le Youtube Live! 2K8 a été un moment clé dans le développement des médias web-based. Mort à la télé, vive le choix du contenu !
Vivement la prochaine édition - Eeek
"No" is a dirty word,
Never gonna say it first,
"No" is just a thought that never crosses my mind.
Maybe in the parking lot,
Better bring your friend along,
Better rock together than just one at a time.
Nickelback - S.E.X.
Et hop, on ouvre sur une petite blague pour fêter le passage de Kanye West hier soir au POPB. Notre cher hip-popeur a tout simplement assuré une performance de qualité, dans les règles de l'art. D'abord le show en plein délire SF des années 70/80 de l'affiche de la tournée avec ordinateur parlant, crash sur des astéroïde et dinosaure de 2.5m qui bouffe Kanye au milieu de la représentation (la routine, quoi); mais surtout une tracklist soignée qui n'a pas sacrifié de classiques pour la promo du nouvel album (juste Love Lockdown pour le rappel). Tant mieux, car après une écoute je ne suis pas encore convaincu par 808's and Heartbreak. Mais je vais prendre un peu plus de temps, we'll see.
L'autre gros nom de la soirée, The Roots qui ont assuré un bout de la première partie ("Dommage, ils mériteraient un show à eux seuls" me direz-vous fort justement avec la pertinence qui vous caractérise, chers lecteurs). Gros kudos pour les petites improvisations (un mash-up live avec Where's you head at de Basement Jaxx sur le riff d'Iron Maiden de Black Sabbath, entre autres) malgré les problèmes de son (rien de bien neuf au POPB...) où on voit que le vrai talent c'est aussi pousser un peu plus loin que le simple répertoire prévu. Mais autre chose m'a marqué, c'est l'absolument phat T-Shirt porté par ?uestlove, encore de l'Obama-love avec une petite touche retro comme il faut.
Et pour rester dans la touche hip-hop, je me paye un petit plaisir sur la mixtape Leaders of the New Cool trouvée via JuBox. D'ailleurs un bon petit blog musical des familles très sympa, félicitations !
Terminons sur une grande, grande nouvelle pour l'humanité et la linguistique... "meh" devient un vrai mot en entrant dans le Collins English Dictionnary ! Une victoire de la culture "oralécrite" de l'instant messaging Internet et SMS. Vive nous !... Bon, je sais, la réaction facile...meh. (via [GAS])
We're the MTV generation, we don't feel high nor lows - Eeek
But if you really care for her,
Then you would'nt've never hit the airport,
To follow your dream, sometimes I still talk to her,
But when I talk to her, it always seems like she talking about me
Kanye West (ft. Chris Martin) - Homecoming
...et je trouve ça pas mal, pour le moment.
Notez que le flux Twitter est quand même vachement mieux là où il est. Un grand merci à SayTweet, qui permet de planquer un (ou plusieurs) flux de tweets dans une image dynamique. J'adore. C'est d'ailleurs bien dommage qu'il ne gère pas les très grandes images, car je voulais foutre mon flux et celui de Monsieur L. dedans (dans les immeubles à gauche). Ça rendait super bien :(
D'autant plus que je tweet nettement plus. Déjà parce que le forfait internet illimité sur le téléphone est arrivé (ouais, ça aide), et parce que j'ai collé BigTweet en bookmark. Vachement pratique, cette petite bête : on colle le lien dans les bookmarks de son navigateur, et un clic dessus fait apparaître une petite fenêtre prête à tweeter sur votre page. D'une simplicité enfantine, et en plus on a quelques signes spéciaux facile à intégrer. Testé et approuvé !
Bon, sinon vous ça va ? Moi ouais, merci de demander. Déjà parce que Le Monde se fend d'un article fort intéressant sur Twitter, média de l'ère Obama. Comme quoi quand on en parle, c'est pas pour rien ! D'ailleurs, même Obaman tweete. C'est dire ! D'ailleurs, le president-elect part en cure de désintoxication dans quelques semaines. On le plaint. Faire passer un addict du Crackberry au papier-et-plume risque de ne pas se faire sans douleur. N'empêche que le président des États Unis d'Amérique n'a ni téléphone, ni ordinateur sur son bureau. Et ça ne choque personne ?
A part ça, j'écoute Dark Horse, de Nickelback. Du bon son (brut pour les truands), et avec quelques chansons très sympa dans la lignée de leur dernier album. J'aime beaucoup.
Ouais, bon, le bloc de marbre c'est pas encore ça (Cf. où nous nous sommes quittés).
Que d'aventures entretemps, que je ne me sens absolument pas le courage de vous relater ! Ça vous fait une belle jambe, je me doute. Donc, sur quoi m'attarder cette fois-ci ?
Introducing The Hype Machine. Cette jolie petite bête (j'aime beaucoup le logo) est un agrégateur qui observe un gros nombre de blogs musicaux d'un peu tous les genres, analyse leurs posts et linke directement sur les chansons mises à disposition des internautes, en streaming.
On y retrouve le plus souvent les dernières fuites d'albums à sortir, des remixes ou de l'indy, mais ça tombe bien parce que c'est parfaitement ce qu'on ne retrouve pas partout ailleurs. Et on peut aussi tomber sur une petite perle des 80's (Non, pas ça, ni ça. En tous cas pas encore.) ou un petit classique rebloggé pour le plaisir par un amateur.
Bref, c'est simple, joli, et ça relève de l'hygiène musicale. A force de choisir le contenu auquel on est exposé, le risque de tourner en rond dans ses références est plus que conséquent, au bout d'un moment. Un petit coup de temps en temps sur le site pour repérer un petit artiste ou un blog intéressant est donc recommandé par..hmm, pas grand monde. M'enfin voilà.
Ah, on note aussi l'intégration à Last.fm, qui permet d'activer le scrobbling (quel mot pourri, quand même) sur les chansons écoutées sur Hype Machine, car le petit programme de Last.fm ne marche pas sur l'écoute streaming. Je connais quelques sites qui feraient bien de prendre exemple. Et ça peut publier des infos sur Twitter, aussi.
Je vais en profiter pour intégrer le widget à droite. En attendant que je trouve le courage de faire le ménage. Ah, et j'ai vu que les twitters de L. se mettent à la place des miens. Je vais essayer de nettoyer ça aussi.
Sur ce...
Never gonna give you up
Never gonna let you down
Never gonna run around and desert you
Never gonna make you cry
Never gonna say goodbye
Never gonna tell a lie and hurt you
Rick "Rickroll'd" Astley - Never gonna give you up (1987)
Ave public, blogituri te salutant.
Cette petite bête est un Qee, art toy fort connu qui nous vient de Hong-Kong. Evidemment, vous connaissant, vous vous en balancez sec, je parie. Ah, elle est belle, la jeunesse.
Hé ben vous devriez pas. Par exemple, cette jolie petite chose nous vient plus précisemment d'une collection de Qee désignée pour l'association Paris Tout P'tits par diverses personnes (Starck, Ben, Besson, Aldebert...). Après avoir été exposés chez Colette pendant un moment, les Qees sont partis pour une vie pleine d'aventure via une vente aux enchères chez Christie's (les profits allant à l'asso, évidemment), vente à laquelle Fa et moi sommes allés.
Hé ben cette petite chose est quand même partie pour 14 000 €, ce qui est je crois bien le record de la soirée. A titre informatif, le Starck est parti pour 4k€ et le J.-C. de Castelbajac à 10k€. Toutes considérations monétaires mises à part, je vous conseille d'aller faire une vente un de ces quatre, c'est fort divertissant (et le comissaire-priseur de chez Christie's est un vrai showman).
Why, hello there, gentes dames et tristes sires.
Alors, quelles nouvelles du monde ? Et bien la très intéressante émission Tracks sur Arte se fend d'un reportage sur Anonymous et le projet Chanology (pour les lecteurs à mémoire courte, c'est ici). Balancer des journalistes, même de bonne volonté, étudier le mouvement, c'est pas gagné. Il va falloir distinguer les hackers on steroid des drawfags, newfags et Anon qui fait ça pour le lulz. En attendant, on trouvera toujours des gars comme le newfag français interviewé vers la fin du doc. Il va falloir que les gens comprennent qu'il n'y a rien à comprendre, sérieusement. Je vous dirige donc sur l'article sur Anon d'ED, la video est bien foutue. Regardez la version abrégée, aussi.
/discuss
Sinon, c'est le printemps, les jours rallongent et les jupes raccourcicent ! Pour moi, Spring Break, et de retour en France pour une petite semaine, you-hou ! Aussi, comme nous en a récemment parlé Monsieur L., voilà un nouveau webcomic fait de bonheur, félicité, Chocapics et Redbull, GirlsWithSlingshots. Check it out, je réorganiserais mes liens et le foutrais quand j'aurais le temps. Ah, et j'écris ce post via ScribeFire pour FireFox. Vachement bien, me permet de continuer à browser en même temps, mais j'ai encore quelques problèmes pour uploader le billet.
Feels just like it should - Eeek
"There were drums in the air as she started to dance,
Every soul in the room keeping time with there hands,
And we sang…
And the voices rang like the angels sing,
And singing…
And we danced on into the night
And we danced on into the night
Like a piece to the puzzle that falls into place,
You could tell how we felt from the look on our faces,
we was spinning in circles with the moon in our eyes,
No room left to move in between you and I,
We forgot where we were and we lost track of time,
And we sang to the wind as we danced through the night,
And we sang…"
Carlos Santana feat. Chad Kroeger - Into the Night
Libellés : My Life, The Interwebs
Bon, vous savez que tout ce qui touche au social networking m'intéresse au plus haut point. Hé ben justement, un de mes nombreux larbins anonymes (Herr A. Fenart, pour ne pas le nommer) m'a entretenu d'un projet pas trop trop con: l'idée, c'est de faire Copains d'Avant, mais avec les histoires d'un soir. Petits coups derrière l'oreille d'avant ? Bon, le nom est pas encore arreté, mais on y travaille.
Ne pas oublier de mettre pas mal de photos, parce que pour les soirées arrosées, hein. Et puis ça permet de se foutre des "erreurs" alcoolisées des autres, une bonne tranche de poilade entre aminches, y'a que ça de vrai. Bon, alors, ça a de l'avenir ou pas ?
/discuss - Eeek
"J'ai la mémoire qui flanche et les yeux rouges
Et en plus, surprise ! dans ton lit ça bouge.
Sur ce coup la, man t'as été un homme
T'as ramené le croisé de Jackie Sardou et d'un pokémon
T'as du style, t'as du style, t'as du style ! Hé mon frère
Quand tu vois double tu ramènes de la bombe nucléaire."
Tryo - Désolé pour hier soir Libellés : Des blatérations
Maintenant que notre pote Fidel est à la retraite (et en attendant qu'on le débranche), il doit avoir du temps pour repenser à sa jeunesse. Les parties de football sous le soleil cubain, la plage, ou, peut-être, une certaine lettre dont il a vainement attendu la réponse, l'année de ses 14 ans. Une lettre au Franklin D. Roosevelt, Président des Etats-Unis. On imagine parfaitement le petit Fidel appliqué sur ses cursives (il écrivait pas mal, d'ailleurs, le con), espérant recevoir un précieux billet de 10 dollars. Qui sait ce qui se serait passé si il Roosevelt le lui avait envoyé, voir avait répondu à l'invitation de visite guidée du Señor Castro ?
[Trouvé sur bookofjoe, lien vers l'original aux archives gouvernementales U.S.]
Your mom don't know that you were missing
She'd be pissed if she could see the parts of you that I've been kissing - Eeek
Screamin'
"Well, you don't know what we can find
Why don't you come with me little girl
On a magic carpet ride"
Steppenwolf - Magic Carpet Ride
Petit billet rapide, parce que je reviens d'une séquence de visionnage du Cercle des Poètes Disparus, de P. Weir. J'ai beau l'avoir vu quarante-douze fois, je ne me lasse pas, et en général profite de la redif' obligatoire des vacances de Noël (doit y avoir une loi. Non mais c'est vrai, tous les ans il est diffusé. Même chose avec Esprits Rebelles. Et tous les ans je me les remate. Ils doivent faire des audiences assez mortelles, à la réflexion), et comme je l'ai loupé, dernièrement, well...pourquoi pas ?
Et que dire, si ce n'est qu'il est épique ? Performances d'acteurs impeccables, surtout pour Robin Williams et les quatre personnages centraux (mention spéciale à Robert Sean Leonard, le futur Dr. Wilson de House M.D., et Gale Hansen, a.k.a. Nuwanda), superbe musique (qui sait être absente). Le film par excellence à balancer à des ados, à mon humble opinion, parce que le sujet parle tellement facilement, qu'on s'identifie très vite, et qu'on a presque tous eu un Mr. Keatings. J'en profite pour vous refiler le poème de Whitman dans son ensemble, parce que c'est un beau poème, et que comme ça vous pourrez vous aussi monter sur des tables pour le déclamer.
Carpe Diem : Seize the Day, and make your lives extraordinary - Eeek
O Captain! My Captain! our fearful trip is done;
The ship has weather'd every rack, the prize we sought is won;
The port is near, the bells I hear, the people all exulting,
While follow eyes the steady keel, the vessel grim and daring
But O heart! heart! heart!
O the bleeding drops of red,
Where on the deck my Captain lies,
Fallen cold and dead.
O Captain! My Captain! rise up and hear the bells;
Rise up-for you the flag is flung-for you the bugle trills;
For you bouquets and ribbon'd wreaths-for you the shores a-crowding;
For you they call, the swaying mass, their eager faces turning
Here Captain! dear father!
This arm beneath your head;
It is some dream that on the deck,
You've fallen cold and dead.
My Captain does not answer, his lips are pale and still;
My father does not feel my arm, he has no pulse or will;
The ship is anchor'd safe and sound, its voyage closed and done;
From fearful trip the victor ship comes in with object won
Exult, O shores, and ring, O bells!
But I with mournful tread,
Walk the deck my Captain lies,
Fallen cold and dead.
Walt Whitman - O Captain! my Captain!
Bon, c'est cool de parler de la Saint Valentin avec tout un chacun, mais moi j'ai une vieille crève, et ça me met de mauvaise humeur. Et parfois, quand je suis de mauvaise humeur, me vient une petite envie de flinguer des gens. Alors bon, comme le juge a encore gueulé la dernière fois, je me suis mis à Gears of War, que j'ai fini tout récemment (soyons larges, y'a une bonne demi-heure).
Bon bon bon. Alors le jeu est très sympa. Y'a de l'action, ça, sûr mon gars, mais c'est moins bourrin (dans le gameplay, j'entends. Parce que sinon, oui, c'est très, mais alors très bourrin) que ce à quoi je m'attendais. Le système des couverts est très bien géré, tout ne dépendant que d'un seul bouton (mise à couvert, sauts, roadie run c'est-à-dire le sprint tête baissée en-priant-pour-pas-s'en-prendre-une-dans-la-narine-gauche, dérapages pour se coller à couvert, etc.) et les combats sont juste motivants comme il faut, on ne se sent pas dans un simple stand de tir. La camera (en troisième personne) ne m'a pas convaincu sur le papier (on est joueur de FPS ou on ne l'est pas, hein.), mais elle est bien animée et finalement nous permet de voir que les personnages sont ma foi fort jolis. Les personnages, d'ailleurs, sont les seuls supports (avec les décors de la ville en ruine) de l'ambiance du jeu. On ne sait rien, ou presque, sur eux, mais leur grosse bras (poilus, on en est sûrs), les phrases-qui-tuent et les gueules de légionnaires (merci DX10, tout est très bien foutu) suffisent à nous tenir pendant la grande majorité du jeu (à part peut-être le dernier acte, ma foi sans gros rebond). En parlant de personnages, j'ajoute juste que l'un des quatre affreux est une repompe quasi-avouée de 'Terrible' Terry Tate, le seul et l'unique office linebacker (cherchez les vidéos sur YouTube), ce qui m'a bien fait marrer, j'avoue.
En fait, le seul point noir, et c'est même carrément une hérésie, de ce jeu, c'est que Microsoft Games est impliqué. Ils ont l'habitude de signer des bons jeux, ça oui (j'ai Freelancer en tête, mais y'en a d'autres), mais leur nouvelle volonté d'intégrer leur service LIVE d'XBox 360 à la con est non seulement débile, mais surtout intolérable, et je pèse mes mots. J'ai rien contre les services comme ceux-là (Steam en est le plus bel exemple), mais la fausse ouverture à deux balles, merci. Oui, on peut jouer avec juste un profil. Ah par contre pour sauvegarder, ma bonne dame, il faudra repasser, vous comprenez... De qui se moque-t-on (oui, de nous, je sais), même en solo ! Et allez ! Alors bon, vingt minutes d'inscription, parce que c'est évidemment mal foutu de s'inscrire, sinon... Ah, mais par contre, avoir un compte ça sert JUSTE à sauvegarder, après pour que les trucs débloqués le soient, il faut le compte LIVE-2-ex-plus-ultra-que-si-tu-upgrade-ton-compte-ca-baise-tes-sauvegardes. Et ça continue, encore et encore, parce que derrière t'as le compte Gold... J'ai cru devenir fou; je veux pas une AmEx moi, juste jouer tranquille ! Triste de voir un bon jeu gâché à ce point. Je ne vois pas qui serait maso au point de l'acheter, mis à part pour la XBoîte.
Sinon, dans les bonnes nouvelles, ça fait deux jours que Red Alert 3 est annoncé \o/ ! Et viennent de paraître les premières images. Si ça a le niveau d'un C&C 3, moi j'approuve direct. Les vieux grognards se souviendront des magnifiques cinématiques filmées mettant en scène Einstein, Staline, Kane, Tanya :D... Et après le casting de folie de C&C 3 (Kane toujours sublime, avec quelques bonus comme la jolie doctoresse de House M.D., Sawyer de Lost, Lando Calrissian de Star Wars, le Colonel de Stargate SG-1... le truc de geek, quoi), on peut s'attendre à du lourd, du très, très lourd. Au niveau des infos, l'URSS a réussi a faire un voyage dans le temps, qui aurait eu des conséquences catastrophiques : on se retrouve en pleine Troisième, avec en bonus une nouvelle faction :o. Pour l'instant, pas d'info sur cette dernière, ceci dit. Sur ce, un petit screen (bateaux Tesla ?), et surtout le génial thème de RA 2, signé par Frank Klepacki (je prie pour qu'il soit toujours dans la team).
The pain train is coming ! Woo-hoo ! - Eeek
We want war ! WAKE UP !
Frank Klepacki - Hell March 2 Libellés : Cybeur Gamez, Miousik
Parce qu'on ne se refuse pas 3 minutes 19 de bonne humeur, et que des ananas qui font du headbanging, c'est gage de qualité.
The Senior Junior - Eeek
D-d-don't stop the beat
C-c-c-can't control my feet
P-p-p-people in the street
Come on everybody and move your feet
Junior Senior - Move your feet
Ah, rien de tel qu'une bonne semaine de vacances improvisées pour repartir d'un bon pied. Bon. Retour à la case Ecosse, où en étais-je ?
C'est toujours comme ça avec moi, de toute façon. J'ai l'attention span d'un chiot de 3 semaines et la mémoire d'un poisson rouge (oui, c'est animalier aujourd'hui). Mes deuxpointzérotages m'avaient amené à tenter la liste de tâches sur ma page d'accueil Netvibes, mais comme ça a, grosso modo, autant de fonctionnalités que le bloc-notes (attention, je ne critique pas le bloc-note Windows, hein. J'ai passé bien trop de temps dessus pour ça, et puis quand c'est juste pour écrire quelque chose, sans avoir besoin de joli formatages style Office 2k7, c'est franchement mieux que Word. Bordel des dieux, je faisais même de la mise en page à coup d'ASCII, et je ne dis pas ça parce que j'étais à Courchevel, désolé mais c'était trop tentant)...err, où en étais-je again ? Ah ouais, [...] bloc-notes, l'utilisation que j'en faisais était somme toutes limitée. Mais bon, après tout, je ne suis pas le seul à tout oublier. L'avantage c'est que parmis les autres dans le même cas, y'a des gens intelligents, et que c'est le genre de gars à inventer Remember The Milk. A vrai dire, j'ai attendu pas mal de temps avant de m'y interesser. On en parle, on en parle, mais je n'avais jamais vraiment regardé de près les fonctionnalités. Au final, je suis convaincu. Et dans le cas de travail de groupe ou de boulot dans une petite structure, cette jolie chose devient doublement indispensable. L'intégration à MSN Messenger, ou encore la localisation sur carte des tâches, sans parler des plus simples updates via mail et autres aprtages de tâches entre utilisateurs. Simple but deadly.
Mais RTM, avec toutes ses qualités, n'est pas le coup de coeur de la journée. Pour rendre à César ce qui est a Kiltiak, c'est sur [GAS], encore, que je l'ai choppé. Commence à bien faire tout ça. Bref, la petite merveille du jour s'apelle LibraryThing et c'est... du social-networking bibliophile. Ouais, là, tout de suite, ça fait peur, mais attendez de voir. La vraie raison d'être de LT est tout simplement de cataloguer l'ensemble de ses bouquins. On peut ajouter un bouquin par ISBN, ou manuellement (ce qui permet d'inclure dans le classement un peu tout et n'importe quoi, du paquet de rapports et d'études de marché ramenés du boulot à la collection de manuels de jeux vidéos Super-Nes) aux 23 millions de livres déjà entrés, le classer (avec possibilité d'afficher la couverture, petit détail que j'aime), puis échanger des avis dessus avec d'autres utilisateurs l'ayant lu, prendre conseil pour les prochains achats de bouquins, ajouter des notes (par exemple pour savoir à qui on l'a prêté, pour éviter, comme moi, d'avoir 50% de ses bouquins hors de la maison), rajouter des tags, etc. etc. Pour vous tous, grands lecteurs, LT est in-dis-pen-sable. Et franchement, quand un site de classement de bouquins arrive à avoir une page de recommandations comme celle-là, c'est que y'a du bon.
Pour finir, du flashmobbing comme on les aime.
Sur ce, je retourne à ma gueule de bois. M'sieurs-dames...
I'm what's left, I'm what's right - Eeek
What if I say I'm not like the others?
What if I say I'm not just another one of your plays
You're the pretender
What if I say that I'll never surrender?
Foo Fighters - The Pretender
Monsieur K., la guerre, les copains et les dessins animés.
Pour ceux qui traînent ici depuis assez longtemps, mon et son posts précédents n'ont pas du vous surprendre. Vous saviez que nous sommes Anonymous. Les yamabushi de l'Interweb, les spartiates du lulz. Alors quand notre Légion part en guerre, il n'y a pas de choix à faire, on suit et on va contrer sec.
De toute façon, je comptais poster, suite à une conversation avec la Chrys. Et poster à propos de quelque chose de fondateur pour nous autres, à savoir les grands Dessins Animés (avec un D.A. majuscule). Ceux qui ont bercé notre prime jeunesse et que je forcerais mes chiards, quand j'aurais moltonné, à mater. J'en oublierais, peu importe.
Le premier, c'est le Roi des Disneys, evidemment. Le Roi Lion, comment faire plus overpwnant que ça ? J'ai rien à rajouter, putain. Simba, Scar ( <3 style="font-style: italic;">ça c'est une suite réussie.
Aladdin. 'nuff said. C'est comme le Roi Lion, c'est la base de la base. Et Robin Williams qui fait le génie, c'est du bloc. Comme le Roi Lion, le petit plus qui rend vraiment tout ultime, c'est les chansons Disneyennes de la grande époque.
Après, introducing l'oeuvre de Don Bluth. Dans le désordre le plus complet...
Le Secret de NIMH, avec Carradine dans le rôle du Grand-Duc, et qui m'a foutu la peur de ma vie pendant 2 ou 3 ans à chaque fois que je le voyais. Un film tout simplement sublime, bien que très sombre. Bluth à son plus haut.
Charlie mon héros. Ambiance clébards. Grand film là aussi. Comme pour la mort de Mufasa, j'ai été traumatisé par celle de Charlie.
Le Petit Dinosaure. Hé ouais, les aventures de Petits-Pieds, parce que ça aussi j'en ai soupé, chiard. On a beau comparer à Dinosaure (vous vous en souvenez ? Un des premiers Disneys en 3D), ben y'en a un qui est à l'épreuve du temps et pas l'autre.
Pour finir, La Bande à Picsou, le film : Le trésor de la lampe magique. Ouais, non à rallonge. Je sais même pas quels morceaux foutre en gras. Anyway, là aussi, du grand art. D'une parce que Picsou, c'est du très, très grand art (et ceux qui ont lu la Jeunesse de Picsou par Don Rosa savent de quoi je parle), de deux parce que, merde la bande à Picsou (ouh-ouh-ouh) quoi. Respect.
Votre Roi vous invite à la fête, soyez prêts ! - Eeek
Je finirais pas ce post sur un petit bout de chanson, ce coup-ci. Celle-là mérite de plus grands égards. Alors voilà.
Non, ce n'était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu'on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord
Ses fluctuat nec mergitur
C'était pas d'la littérature
N'en déplaise aux jeteurs de sort
Aux jeteurs de sort
Son capitaine et ses mat'lots
N'étaient pas des enfants d'salauds
Mais des amis franco de port
Des copains d'abord
C'étaient pas des amis de luxe
Des petits Castor et Pollux
Des gens de Sodome et Gomorrhe
Sodome et Gomorrhe
C'étaient pas des amis choisis
Par Montaigne et La Boétie
Sur le ventre ils se tapaient fort
Les copains d'abord
C'étaient pas des anges non plus
L'Évangile, ils l'avaient pas lu
Mais ils s'aimaient toutes voiles dehors
Toutes voiles dehors
Jean, Pierre, Paul et compagnie
C'était leur seule litanie
Leur credo, leur confiteor
Aux copains d'abord
Au moindre coup de Trafalgar
C'est l'amitié qui prenait l'quart
C'est elle qui leur montrait le nord
Leur montrait le nord
Et quand ils étaient en détresse
Qu'leurs bras lançaient des S.O.S.
On aurait dit des sémaphores
Les copains d'abord
Au rendez-vous des bons copains
Y avait pas souvent de lapins
Quand l'un d'entre eux manquait à bord
C'est qu'il était mort
Oui, mais jamais, au grand jamais
Son trou dans l'eau n'se refermait
Cent ans après, coquin de sort
Il manquait encore
Des bateaux j'en ai pris beaucoup
Mais le seul qui ait tenu le coup
Qui n'ait jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord
Hello, Scientology. We are Anonymous.
Over the years, we have been watching you. Your campaigns of misinformation; suppression of dissent; your litigious nature, all of these things have caught our eye. With the leakage of your latest propaganda video into mainstream circulation, the extent of your malign influence over those who trust you, who call you leader, has been made clear to us. Anonymous has therefore decided that your organization should be destroyed. For the good of your followers, for the good of mankind--for the laughs--we shall expel you from the Internet and systematically dismantle the Church of Scientology in its present form. We acknowledge you as a serious opponent, and we are prepared for a long, long campaign. You will not prevail forever against the angry masses of the body politic. Your methods, hypocrisy, and the artlessness of your organization have sounded its death knell.
You cannot hide; we are everywhere.
We cannot die; we are forever. We're getting bigger every day--and solely by the force of our ideas, malicious and hostile as they often are. If you want another name for your opponent, then call us Legion, for we are many.
Yet for all that we are not as monstrous as you are; still our methods are a parallel to your own. Doubtless you will use the Anon's actions as an example of the persecution you have so long warned your followers would come; this is acceptable. In fact, it is encouraged. We are your SPs.
Gradually as we merge our pulse with that of your "Church", the suppression of your followers will become increasingly difficult to maintain. Believers will wake, and see that salvation has no price. They will know that the stress, the frustration that they feel is not something that may be blamed upon Anonymous. No--they will see that it stems from a source far closer to each. Yes, we are SPs. But the sum of suppression we could ever muster is eclipsed by that of the RTC.
Knowledge is free.
We are Anonymous.
We are Legion.
We do not forgive.
WE DO NOT FORGET.
Expect us.
THIS IS SPARTA
For teh lulz.
Hier, j'ai attaqué Spin, de RC Wilson. Hier, je l'ai fini, aussi. Bon signe en général. Je ne vais pas m'étendre sur le synopsis, d'une part parce que ça vous gâcherait de la lecture, d'autre part parce tout le monde (et leurs mères) ont parlé de ce bouquin, qui a notamment reçu par le grand prix de l'Imaginaire 2008 et le prix Hugo 2006. Bon, déjà, balançons la quatrième de couv'.
Une nuit d'octobre, Tyler Dupree, douze ans, et ses deux meilleurs amis, Jason et Diane Lawton, quatorze ans, assistent à la disparition soudaine des étoiles. Bientôt, l'humanité s'aperçoit que la Terre est entourrée d'une barrière à l'extérieur de laquelle le temps s'écoule des millions de fois plus vite. La lune a disparu, le soleil est un simulacre, les satellites artificiels sont retombés sur terre. Mais le plus grave, c'est qu'à la vitesse à laquelle vieillit désormais le véritable soleil, l'humanité n'a plus que quelques décennies à vivre...Ainsi soit-il. La seule chose que j'aurais à ajouter, c'est qu'on a pas affaire à une enquête d'enfants style Club des Cinqs, mais bien à une chronique de l'Amérique post-"événements d'Octobre" qui s'étale sur plus de trente ans (soit environs 4 x 10^9 ans en dehors du Spin). Cette vision bien centrée dans les U.S., qui passe par Washington, la Floride et le fin fond du Midwest, des locaux de la NASA aux églises de la Bible Belt. D'une certaine manière, j'ai retrouvé une partie de l'esprit du (sublime) Je suis une légende, de Matheson. On a du mal à s'empêcher de penser aux classiques de la grande époque SF, Bradbury et (dans une moindre, moindre mesure) Aasimov. Les extrapolations de Wilson sur la société, la géopolitique et les avancées technologiques tapent juste, surprennent, font réflechir. Ca pose du verbe sur un papier, fait remuer sec la boîte à vent . Donc, je conseille grave.
Qui a emprisonné la terre derrière le Bouclier d'Octobre ? Et s'il s'agit d'extraterrestres, pourquoi ont-ils agi ainsi ?
Ceci étant dit, mon affinité naturelle avec l'interweb et cette intuition supranaturelle qui caractérise les grands génies ont guidé mes clics vers le blog d'une vilaine Rhapsode, pas bohême du tout, mais un poil magyare sur les bords. J'en dis pas plus et j'attends des nouvelles mesures de la Rhapsodie Hongroise, en souhaitant le meilleur à la Pépiplop. En parlant des blogs récents, je veux pas faire chier, mais si Mr. X. pouvait se remuer le postérieur, on n'en serait que plus reconnaissants. Suivez mon r'gard >.> .
Bombardement vocal, verbal Việt Võ Đạo - Eeek
"Papayou, papayou, papayou, papayou lélé
J'ai le plus beau des papayou lélé
Qu'on ait vu depuis des années
Papayou, papayou, papayou, papayou lélé
Ma mère me disait faut pas le montrer
Ça f'rait des jaloux dans le quartier"
Carlos - Papayou Libellés : Bouquins, Coupaings
Bon, pour ceux que ça intéresse, j'ai collé des boutons pour ajouter le flux du Bureau sur Netvibes, Google (iGoogle et Google Reader, en fait) et FeedBurner (qui peut permettre de l'ajouter sur plein d'app., dont Firefox). Ca se trouve en dessous des liens. Autre petite précision, après une formation rapide (Welcome to Linkbacks 101) et faite à coup de googlings barbares, je crois avoir compris que Blogger ne supporte pas les trackbacks, mais les backlinks. Pour vérifier si tout marche, si les blogspoteurs d'entre vous peuvent linker ce post, par exemple, en utilisant le permalink (c-à-d l'URL que vous obtenez en cliquant sur le titre de mon post, pas l'URL générale du blog); ça serait fort sympathique.
Avant de commencer ce post, petite update sur des posts précédents : grâce à Chrys j'ai trouvé un Bash pour Twitter, et ça s'apelle Joke My Twitt. Autre chose, un site de critique d'endroits sur le mode Twitter : PlaceShout. Donner son avis sur un endroit en 100 mots. Je me suis inscrit, pour voir.
D'ailleurs, en m'inscrivant, j'ai utilisé l'OpenID, pour voir. Le concept est intéressant, et peut s'avérer pratique, mais ça reste quand même assez affolant sur l'utilisation possible de ces informations. Juste en hackant (ou en forçant juridiquement, ou, etc.) la boite fournissant l'OpenID (VeriSign Labs dans mon cas), on obtient un condensé de mes activités webesques. Bien plus rapide que de googler le pseudo, en fait. Ceci étant dit, je m'en balance copieusement qu'on sache que j'ai visité PlaceShout pour le moment. Alors...
Cette histoire d'identité virtuelle m'a lancé sur une copieuse réflexion sur celle qui nous définit déjà, à savoir notre email (en fait, c'était le sujet originel de ce billet, mais cette histoire me donne une raison encore plus valable et une bonne intro, alors je ne vois pas pourquoi je me priverais). Mon adresse actuelle m'a fidèlement servi au cours de ces dernières années, mais elle a fait son temps, et je suis plutôt tenté de switcher. Or, sans compter les 5 années d'archive (5 juillet 2002) et les 1250 messages que j'ai stocké sur la bête qu'il me faudra garder en forme d'une façon ou d'un autre, il y a aussi la liste msn (170 tronches, grosso modo), les redirections de mes différentes adresses existantes... Argh. Finalement, je vais la garder.
Mais je vais aussi en lancer une nouvelle.
Nouvelle adresse que j'ai par ailleurs choppée avec...le nouveau nom de domain ("Ooooh" de la foule). Car vous pouvez maintenant acceder à votre site favori (hors pr0n) via la fabuleuse adresse http://bureaublog.net. Et votre serviteur est joignable via monsieurk "at" cette belle adresse. Voilà.
Peanut Butter Jelly Time - Eeek
> J'attends. Va y avoir un molteux, claro, pour l'ouvrir...
Slift le Volté - La Zone du Dehors
Seesmic. Ben voila. Depuis quelques semaines/mois que je suivais l'affaire (via Seesmix, le blog de Loïc le Meur et son twitter principalement) du développement de cette merveilleuse petite boîte susnommée, j'ai enfin reçu via un merveilleux petit message twitter ma clé d'invitation à la pré-alpha. In the V.I.P. with the movie stars.
Mais déjà, qu'est ce que c'est, Seesmic ? Hé bien, pour résumé, c'est un service de micro-vidéo-blogging et de social-networking monté par M. Le Meur, assez similaire à une version vidéo de Twitter. Contrairement à Youtube, qui est un service d'upload de vidéos, on touche ici plus au domaine de la conversation. Donc, system de following, followers, vidéos, tout ça tout ça.
Après deux jours, petit constat. Seesmic, c'est chronophage. Dieux de dieux, il va falloir que je me retienne ! Dès qu'un débat est lancé, on suit les posts, enregistre une réponse, retourne regarde rce qu'on a loupé en enregistrant, etc. Ceci étant dit, c'est génial. La communauté pré-alpha (US/UK/Internationale comme FR) est dans l'ensemble intelligente et accueuillante, pas de video trollings ou flaming pour l'instant. Ce qui est un bon score. 90% des habitués de cette communauté sont constitués de bloggueurs, je dirais même de serial-bloggueurs pour la plupart, rompus aux arts anciens et mortels de Twitter, Facebook, Digg, StumbleUpon, del.icio.us (c'est marrant il a l'air down) et reddit. Le Tao du CSS, l'Ecole du DotClear d'Argent. Effet direct, l'expansion de ma liste Twitter (couplée avec l'arrivée parmis les "twits" de Kiltak de [GAS] et le Marf' national).
Néanmoins, la communauté ne saurait être un argument vraiment valable, car une fois Seesmic lancé et ouvert à tous, la timeline ne pourra tout simplement pas suivre, et ressemblera plus à celle de Twitter.
Alors, le reste vaut-il le coup ? Pour l'instant, je pense que oui. Les quelques tests que j'ai pu faire, qu'ils soient de micro-vlogging de groupe ou de débats entre plusieurs utilisateurs par vidéos interposées sont plus que concluants. Evidemment, on reste en stage pré-alpha, et l'interface (et les serveurs) auront à sérieusement s'améliorer. Mais c'est un très bon début, et Seesmic a compris quelque chose d'essentiel : sans interaction avec le reste du monde, le service est promis à la mort. D'où l'intégration des vidéos via Twitter, ou encore la possibilité d'avoir un player intégré (comme sur ce post).
Sinon, quelques trucs dont je m'étais promis de parler. Tout d'abord, la fabuleuse vidéo de Gizmodo "tuant" tous les écrans TV du CES 2008. J'adore ces mecs, même si les quelques présentateurs sur stands sont à plaindre.
Autre révélation toute pleine de roxxance, l'annonce du nouveau concept d'Art Lebedev, responsable de l'Optimus, un clavier à touches OLED (c'est à dire que les touches sont des petits écrans en eux-même, on peut le voir en action ici) qui sera l'Optimus Tactus, un clavier qui serait une dalle LCD supportant le multi-touch (un peu comme l'iPhone si vous voulez). Les quelques images donnent gravement, mais alors gravement envie.
C'est tout pour aujourd'hui, en m'excusant par avance d'avoir chargé le post en liens. Mais, que voulez-vous, on ne se refait pas.
Ah, ouais, j'oubliais. J'ai un code en rab' pour Seesmic. Y'a des intéressés qui s'en serviraient suffisament ou je fais tourner par mes autres réseaux ?
Talky, friendly, geeky - Eeek
"Il en faut peu pour être heureux
Vraiment très peu pour être heureux
Il faut se satisfaire du nécessaire
Un peu d'eau fraîche et de verdure
Que nous prodigue la nature
Quelques rayons de miel et de soleil."
Baloo - Le Livre de la Jungle
Allez, il en fallait bien un, parce que quand on blog bloggue blogue est sur la blogosphère, on se doit de réagir aux grands mouvements de mode. Alors parlons un peu de Twitter (oui, to twitter, gazouiller. Mine de rien, ça sonne mieux en anglais.). Et puis merde, pourquoi encore un service pour raconter sa vie quand on passe son temps à faire coucou sur les walls des amis sur Facebook avant de changer son message MSN, le tout en updatant son blog ?
La première réaction, c'est souvent de trouver ça plutôt inutile, en se disant que "c'est trop", et que c'est bien plus sensé de rester à utiliser ce qu'on a. Mais, pour être tout à fait honnête, la plupart d'entre nous disait ça des blogs et de Facebook y'a encore pas si longtemps que ça... Et puis finalement, on commence à voir des flux twitter sur les sites qu'on fréquente, on en entend parler sur les blogs... Et on se dit que mine de rien, c'est pratique et classe.
Comme le dit si bien Wikipedia, Twitter est un service de social networking et de micro-blogging. Le côté social, c'est d'utiliser les tweets (oui, on appelle ça des tweets) comme dire où on est, où on va. Comme le statut Facebook, ou encore les messages d'absence sur messengers divers. Le côté blog, par contre, c'est condenser un message sur sa petite vie en 140 caractères maximum. Perso, c'est là que je lui trouve tout son intérêt, surtout pour deux raisons. D'une part parce que ça permet de "purger" son blog des messages persos qui, la plupart du temps, n'ont pas un grand intérêt en dehors des quelques jours qui suivent l'annonce (grand maximum). Et on se retrouve forcés de trouver un peu plus de consistance aux billets qu'on écrit, ce qui n'est pas vraiment un mal. Donc, Twitter est un outil d'assainissement global de la blogosphère (c'est dingue de voir de quoi l'esprit humain arrive à se persuader pour se justifier).
L'autre avantage, à mon sens, c'est que c'est ce genre de petits trucs qui poussent les utilisateurs à écrire quelque chose, mettre en forme leur pensée parce que d'autres vont les lire. Que celui qui ne s'est jamais découragé devant la page blanche de rédaction de billet me jette le premier octet, sans parler de ceux qui n'ont même pas de blog. Twitter, à sa modeste mesure, permet un petit exercice de l'esprit du côté de la rédaction, et ça n'est franchement pas plus mal. Je reprendrais juste les mots de Monsieur L., dans la plus pure tradition du Golgoth de Damasio, franco de porc : "Le blogging, c'est comme la masturbation, faut le faire parfois juste par hygiène". Et puis, la plupart d'entre nous se sert du message perso IM pour ça, alors autant lui réserver une petite place à part et faire l'effort d'entretenir sa pensée, si courte et personelle soit-elle. Et pour ceux qui veulent que le message perso et les tweets ne fassent qu'un, Dieu (et une bonne dose des merveilles des communautés sur le Net) créa Twessenger. Je sais que ça fera plaisir à Monsieur L.
Au déla de l'utilisation via twitter.com ou via le telephone (parce que bon ça coute à force), on trouve un monstrueux paquet d'app. Par manque de recherche, j'ai surtout utilisé Twitteroo, tout simplement parce qu'il était conseillé sur twitter.com, mais je viens de switcher sous Snitter, et y'a pas photo, je trouve ça moultes fois plus pratiques (et joli).
Mais Twitter peut aussi avoir d'autres applications. Je suis tombé par hasard sur ma préférée, crée par un designer responsable de quelques-un des thèmes Blogger. Cette petite merveille s'apelle Foamee, et permet très simplement d'envoyer une "reconnaissance de dette" d'une valeur d'une bière ou d'un café à un ami via Twitter, en ajoutant la raison de la dette susnommée. La page d'accueil nous montre les derniers I.O.U. (I owe you) envoyés. Je trouve ça super sympa et assez mignon dans son genre, en fait. Et il y a un service pour valider les dettes payées. Faudra que je m'essaye à cette histoire.
Obsédé textuel - Eeek
"J'aurais pu être pressée sur le coeur d'une enfant
Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant
Ou être le pliage d'un gamin de huit ans
Et voler dans les airs sous les rires des enfants
Ou être dans les pages d'un livre d'histoire
Qui dit que le chemin est encore tellement long"
Renan Luce - Je suis une feuille
Bill Gates, par contre, vient de présenter son dernier keynote Microsoft (MicroHaxx M$ W!nd0b3 sUx, etc.) au CES 2008. Et comme Billou (je peux t'appeler Billou, hein ? Merci.) est encore un grand n'enfant, il a fait une petite vidéo avec des copains. Cest-y-pas-mignon !
Personal favorite, Barack Obama "Bill...Shatner, de Star Trek ?"
Franchement, j'ai trouvé tout ça bien poilant. Ca a du bon d'être à le fois l'homme le plus riche du monde et le geek le plus connu à l'ouest de l'Amiga.
Ah, et pour ceux que ça interesse, il a aussi fait une partie de Guitar Hero III avec Slash qui vient poser son solo sur la scène. Hé ouais.
Billou, je compte sur toi, reste Ghetto.
"Bro's before ho's, man !" - Eeek
"There's not much I know about you
Fear will always make you blind
But the answer is in clear view
It's amazing what you'll find face to face"
Daft Punk (feat. Todd Edwards) - Face to Face
Bon, 2007, it's over comme dirait M. Van Damme. Xin nian hao à tous, donc. Pas de résolution spécifiques, notamment sur la fréquence des posts, car avec l'arrivée de Twitter (là, à droite) c'est devenu nettement plus rapide et facile de raconter sa vie. Donc, il me faut des sujets un tant soit peu intéressants avant de poster. Dur.
Ceci étant dit, pendant que je cause de Twitter, vous noterez que j'ai rajouté une autre jolie petite colonne, qui corresponds aux twitterismes de Monsieur L., hop. Because I can.
Because I can. La phrase-signature de Ryan Sohmers, l'auteur de Least I Could Do. En y repensant, je suis surpris que ces messieurs L. et Benj n'aient pas déja parlé de cette bible du one-liner et de la belle vie. J'éviterais de m'attarder dessus ceci dit. C'est beau, c'est très bon.
Tout de même, en les lisant au fur et à mesure, on ne peut pas s'empêcher de rêver être un personnage de Sohmers et DeSouza, par moment : comme le dit la toute récente chanson du teaser vidéo, "I wanna be consequence-free". C'est là toute l'essence du charisme de Rayne et de ses potes. Pas d'hésitation à lacher le one-liner qui tue en regardant les courses de la personne devant au supermarché ou à la nana d'à côté dans le bar, aucune autre non plus pour se pointer en Stormtrooper au boulot ou s'infiltrer dans les conduits d'aération du bureau de son pote pour dire bonjour. Toujours pas pour se trimballer à poil un peu partout, partir chercher les Tortues Ninjas dans les égouts, ruiner la vie sociale de ses amis ou sauver un couple qui se plante sur l'autoroute. C'est ça, au final, la vraie belle vie : l'absence totale d'intérêt pour les conséquences de ses actions. Holy crap ! I almost gave a fuck. L'essence même de la félicité de nos plus jeunes années toutes égoïstes. La vie parfaite dans un monde qui n'est qu'un terrain de jeu, les conséquences c'est pour les autres.
Ah, vivement que je gagne à EuroMillions, que je sois riche, heureux et consequence-free.
Sans transition ni rapport aucun, les 10 jours back in Paris furent des plus agréables, et bien remplis de revoyures de potes divers. J'ai enfin pu repasser à la maison à la Marine, avec, entre autres les 3 terribles frères Laplane (j'avais réussi à ne pas voir le Tim plus tôt), Yaco, et autres. Une soirée bien trop courte, mais au moins ça ressource de se la coller à coup de vraies choppes.
Because I Can - Eeek
"Like a true nature's child
We were born, born to be wild
We can climb so high
I never wanna die"
Steppenwolf - Born to be wild