Bon, 2007, it's over comme dirait M. Van Damme. Xin nian hao à tous, donc. Pas de résolution spécifiques, notamment sur la fréquence des posts, car avec l'arrivée de Twitter (là, à droite) c'est devenu nettement plus rapide et facile de raconter sa vie. Donc, il me faut des sujets un tant soit peu intéressants avant de poster. Dur.
Ceci étant dit, pendant que je cause de Twitter, vous noterez que j'ai rajouté une autre jolie petite colonne, qui corresponds aux twitterismes de Monsieur L., hop. Because I can.
Because I can. La phrase-signature de Ryan Sohmers, l'auteur de Least I Could Do. En y repensant, je suis surpris que ces messieurs L. et Benj n'aient pas déja parlé de cette bible du one-liner et de la belle vie. J'éviterais de m'attarder dessus ceci dit. C'est beau, c'est très bon.
Tout de même, en les lisant au fur et à mesure, on ne peut pas s'empêcher de rêver être un personnage de Sohmers et DeSouza, par moment : comme le dit la toute récente chanson du teaser vidéo, "I wanna be consequence-free". C'est là toute l'essence du charisme de Rayne et de ses potes. Pas d'hésitation à lacher le one-liner qui tue en regardant les courses de la personne devant au supermarché ou à la nana d'à côté dans le bar, aucune autre non plus pour se pointer en Stormtrooper au boulot ou s'infiltrer dans les conduits d'aération du bureau de son pote pour dire bonjour. Toujours pas pour se trimballer à poil un peu partout, partir chercher les Tortues Ninjas dans les égouts, ruiner la vie sociale de ses amis ou sauver un couple qui se plante sur l'autoroute. C'est ça, au final, la vraie belle vie : l'absence totale d'intérêt pour les conséquences de ses actions. Holy crap ! I almost gave a fuck. L'essence même de la félicité de nos plus jeunes années toutes égoïstes. La vie parfaite dans un monde qui n'est qu'un terrain de jeu, les conséquences c'est pour les autres.
Ah, vivement que je gagne à EuroMillions, que je sois riche, heureux et consequence-free.
Sans transition ni rapport aucun, les 10 jours back in Paris furent des plus agréables, et bien remplis de revoyures de potes divers. J'ai enfin pu repasser à la maison à la Marine, avec, entre autres les 3 terribles frères Laplane (j'avais réussi à ne pas voir le Tim plus tôt), Yaco, et autres. Une soirée bien trop courte, mais au moins ça ressource de se la coller à coup de vraies choppes.
Because I Can - Eeek
"Like a true nature's child
We were born, born to be wild
We can climb so high
I never wanna die"
Steppenwolf - Born to be wild
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6 commentaires:
Ca veut dire quoi "j'avais réussi a ne pas voir le Tim plus tôt" ? Tu m'esquivait ? Sale fourbe!
Enfin bon entre ancien war on ce sert les coudes et donc je te pardonne...
Bienvenu dans l'année 2008 \o/
Que 2008 passe bien et vite :)
Marinette
Tu penses à moi si tu gagnes à Euromillions hein ma caille :')
Bon, sinon, lequel de nous deux se tape la motivation de résumer les raisons qui font que nous sommes l'incarnation dans le monde réel, et respectivement, de Rayne et Noel? :p
Qui de vous deux m'expliquera pourquoi L est fier d'avoir un avatar aux poils frisés? xD
Vous êtes chou à la jouer "duo", vous auriez pu faire Laurel et Hardy, Tic et Tac, Belle et Sebastien *combo regard angélique, smile, tousse*
Tu veux pas foutre mon nom de famille sur ton blog tant que t'y es ouais ?!!
*ahem* damned, je suis fait, fait comme un camembert !! ^^
Tim = Marf? :3
C'est quoi, Twitter?
Comme Monsieur L, j'espère aussi que tu gagneras à Euromillion :D
C'qui Rayne?
J'espère que quand t'étais sur Paris, c'était quand je n'y étais pas !! Sinon tu vas prendre cher ! Need un katsudon, à l'ancienne
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