Pour ceux qui traînent ici depuis assez longtemps, mon et son posts précédents n'ont pas du vous surprendre. Vous saviez que nous sommes Anonymous. Les yamabushi de l'Interweb, les spartiates du lulz. Alors quand notre Légion part en guerre, il n'y a pas de choix à faire, on suit et on va contrer sec.
De toute façon, je comptais poster, suite à une conversation avec la Chrys. Et poster à propos de quelque chose de fondateur pour nous autres, à savoir les grands Dessins Animés (avec un D.A. majuscule). Ceux qui ont bercé notre prime jeunesse et que je forcerais mes chiards, quand j'aurais moltonné, à mater. J'en oublierais, peu importe.
Le premier, c'est le Roi des Disneys, evidemment. Le Roi Lion, comment faire plus overpwnant que ça ? J'ai rien à rajouter, putain. Simba, Scar ( <3 style="font-style: italic;">ça c'est une suite réussie.
Aladdin. 'nuff said. C'est comme le Roi Lion, c'est la base de la base. Et Robin Williams qui fait le génie, c'est du bloc. Comme le Roi Lion, le petit plus qui rend vraiment tout ultime, c'est les chansons Disneyennes de la grande époque.
Après, introducing l'oeuvre de Don Bluth. Dans le désordre le plus complet...
Le Secret de NIMH, avec Carradine dans le rôle du Grand-Duc, et qui m'a foutu la peur de ma vie pendant 2 ou 3 ans à chaque fois que je le voyais. Un film tout simplement sublime, bien que très sombre. Bluth à son plus haut.
Charlie mon héros. Ambiance clébards. Grand film là aussi. Comme pour la mort de Mufasa, j'ai été traumatisé par celle de Charlie.
Le Petit Dinosaure. Hé ouais, les aventures de Petits-Pieds, parce que ça aussi j'en ai soupé, chiard. On a beau comparer à Dinosaure (vous vous en souvenez ? Un des premiers Disneys en 3D), ben y'en a un qui est à l'épreuve du temps et pas l'autre.
Pour finir, La Bande à Picsou, le film : Le trésor de la lampe magique. Ouais, non à rallonge. Je sais même pas quels morceaux foutre en gras. Anyway, là aussi, du grand art. D'une parce que Picsou, c'est du très, très grand art (et ceux qui ont lu la Jeunesse de Picsou par Don Rosa savent de quoi je parle), de deux parce que, merde la bande à Picsou (ouh-ouh-ouh) quoi. Respect.
Votre Roi vous invite à la fête, soyez prêts ! - Eeek
Je finirais pas ce post sur un petit bout de chanson, ce coup-ci. Celle-là mérite de plus grands égards. Alors voilà.
Non, ce n'était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu'on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord
Ses fluctuat nec mergitur
C'était pas d'la littérature
N'en déplaise aux jeteurs de sort
Aux jeteurs de sort
Son capitaine et ses mat'lots
N'étaient pas des enfants d'salauds
Mais des amis franco de port
Des copains d'abord
C'étaient pas des amis de luxe
Des petits Castor et Pollux
Des gens de Sodome et Gomorrhe
Sodome et Gomorrhe
C'étaient pas des amis choisis
Par Montaigne et La Boétie
Sur le ventre ils se tapaient fort
Les copains d'abord
C'étaient pas des anges non plus
L'Évangile, ils l'avaient pas lu
Mais ils s'aimaient toutes voiles dehors
Toutes voiles dehors
Jean, Pierre, Paul et compagnie
C'était leur seule litanie
Leur credo, leur confiteor
Aux copains d'abord
Au moindre coup de Trafalgar
C'est l'amitié qui prenait l'quart
C'est elle qui leur montrait le nord
Leur montrait le nord
Et quand ils étaient en détresse
Qu'leurs bras lançaient des S.O.S.
On aurait dit des sémaphores
Les copains d'abord
Au rendez-vous des bons copains
Y avait pas souvent de lapins
Quand l'un d'entre eux manquait à bord
C'est qu'il était mort
Oui, mais jamais, au grand jamais
Son trou dans l'eau n'se refermait
Cent ans après, coquin de sort
Il manquait encore
Des bateaux j'en ai pris beaucoup
Mais le seul qui ait tenu le coup
Qui n'ait jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord
Monsieur K., la guerre, les copains et les dessins animés.
Hello, Scientology. We are Anonymous.
Over the years, we have been watching you. Your campaigns of misinformation; suppression of dissent; your litigious nature, all of these things have caught our eye. With the leakage of your latest propaganda video into mainstream circulation, the extent of your malign influence over those who trust you, who call you leader, has been made clear to us. Anonymous has therefore decided that your organization should be destroyed. For the good of your followers, for the good of mankind--for the laughs--we shall expel you from the Internet and systematically dismantle the Church of Scientology in its present form. We acknowledge you as a serious opponent, and we are prepared for a long, long campaign. You will not prevail forever against the angry masses of the body politic. Your methods, hypocrisy, and the artlessness of your organization have sounded its death knell.
You cannot hide; we are everywhere.
We cannot die; we are forever. We're getting bigger every day--and solely by the force of our ideas, malicious and hostile as they often are. If you want another name for your opponent, then call us Legion, for we are many.
Yet for all that we are not as monstrous as you are; still our methods are a parallel to your own. Doubtless you will use the Anon's actions as an example of the persecution you have so long warned your followers would come; this is acceptable. In fact, it is encouraged. We are your SPs.
Gradually as we merge our pulse with that of your "Church", the suppression of your followers will become increasingly difficult to maintain. Believers will wake, and see that salvation has no price. They will know that the stress, the frustration that they feel is not something that may be blamed upon Anonymous. No--they will see that it stems from a source far closer to each. Yes, we are SPs. But the sum of suppression we could ever muster is eclipsed by that of the RTC.
Knowledge is free.
We are Anonymous.
We are Legion.
We do not forgive.
WE DO NOT FORGET.
Expect us.
THIS IS SPARTA
For teh lulz.
Hier, j'ai attaqué Spin, de RC Wilson. Hier, je l'ai fini, aussi. Bon signe en général. Je ne vais pas m'étendre sur le synopsis, d'une part parce que ça vous gâcherait de la lecture, d'autre part parce tout le monde (et leurs mères) ont parlé de ce bouquin, qui a notamment reçu par le grand prix de l'Imaginaire 2008 et le prix Hugo 2006. Bon, déjà, balançons la quatrième de couv'.
Une nuit d'octobre, Tyler Dupree, douze ans, et ses deux meilleurs amis, Jason et Diane Lawton, quatorze ans, assistent à la disparition soudaine des étoiles. Bientôt, l'humanité s'aperçoit que la Terre est entourrée d'une barrière à l'extérieur de laquelle le temps s'écoule des millions de fois plus vite. La lune a disparu, le soleil est un simulacre, les satellites artificiels sont retombés sur terre. Mais le plus grave, c'est qu'à la vitesse à laquelle vieillit désormais le véritable soleil, l'humanité n'a plus que quelques décennies à vivre...Ainsi soit-il. La seule chose que j'aurais à ajouter, c'est qu'on a pas affaire à une enquête d'enfants style Club des Cinqs, mais bien à une chronique de l'Amérique post-"événements d'Octobre" qui s'étale sur plus de trente ans (soit environs 4 x 10^9 ans en dehors du Spin). Cette vision bien centrée dans les U.S., qui passe par Washington, la Floride et le fin fond du Midwest, des locaux de la NASA aux églises de la Bible Belt. D'une certaine manière, j'ai retrouvé une partie de l'esprit du (sublime) Je suis une légende, de Matheson. On a du mal à s'empêcher de penser aux classiques de la grande époque SF, Bradbury et (dans une moindre, moindre mesure) Aasimov. Les extrapolations de Wilson sur la société, la géopolitique et les avancées technologiques tapent juste, surprennent, font réflechir. Ca pose du verbe sur un papier, fait remuer sec la boîte à vent . Donc, je conseille grave.
Qui a emprisonné la terre derrière le Bouclier d'Octobre ? Et s'il s'agit d'extraterrestres, pourquoi ont-ils agi ainsi ?
Ceci étant dit, mon affinité naturelle avec l'interweb et cette intuition supranaturelle qui caractérise les grands génies ont guidé mes clics vers le blog d'une vilaine Rhapsode, pas bohême du tout, mais un poil magyare sur les bords. J'en dis pas plus et j'attends des nouvelles mesures de la Rhapsodie Hongroise, en souhaitant le meilleur à la Pépiplop. En parlant des blogs récents, je veux pas faire chier, mais si Mr. X. pouvait se remuer le postérieur, on n'en serait que plus reconnaissants. Suivez mon r'gard >.> .
Bombardement vocal, verbal Việt Võ Đạo - Eeek
"Papayou, papayou, papayou, papayou lélé
J'ai le plus beau des papayou lélé
Qu'on ait vu depuis des années
Papayou, papayou, papayou, papayou lélé
Ma mère me disait faut pas le montrer
Ça f'rait des jaloux dans le quartier"
Carlos - Papayou Libellés : Bouquins, Coupaings
Bon, pour ceux que ça intéresse, j'ai collé des boutons pour ajouter le flux du Bureau sur Netvibes, Google (iGoogle et Google Reader, en fait) et FeedBurner (qui peut permettre de l'ajouter sur plein d'app., dont Firefox). Ca se trouve en dessous des liens. Autre petite précision, après une formation rapide (Welcome to Linkbacks 101) et faite à coup de googlings barbares, je crois avoir compris que Blogger ne supporte pas les trackbacks, mais les backlinks. Pour vérifier si tout marche, si les blogspoteurs d'entre vous peuvent linker ce post, par exemple, en utilisant le permalink (c-à-d l'URL que vous obtenez en cliquant sur le titre de mon post, pas l'URL générale du blog); ça serait fort sympathique.
Avant de commencer ce post, petite update sur des posts précédents : grâce à Chrys j'ai trouvé un Bash pour Twitter, et ça s'apelle Joke My Twitt. Autre chose, un site de critique d'endroits sur le mode Twitter : PlaceShout. Donner son avis sur un endroit en 100 mots. Je me suis inscrit, pour voir.
D'ailleurs, en m'inscrivant, j'ai utilisé l'OpenID, pour voir. Le concept est intéressant, et peut s'avérer pratique, mais ça reste quand même assez affolant sur l'utilisation possible de ces informations. Juste en hackant (ou en forçant juridiquement, ou, etc.) la boite fournissant l'OpenID (VeriSign Labs dans mon cas), on obtient un condensé de mes activités webesques. Bien plus rapide que de googler le pseudo, en fait. Ceci étant dit, je m'en balance copieusement qu'on sache que j'ai visité PlaceShout pour le moment. Alors...
Cette histoire d'identité virtuelle m'a lancé sur une copieuse réflexion sur celle qui nous définit déjà, à savoir notre email (en fait, c'était le sujet originel de ce billet, mais cette histoire me donne une raison encore plus valable et une bonne intro, alors je ne vois pas pourquoi je me priverais). Mon adresse actuelle m'a fidèlement servi au cours de ces dernières années, mais elle a fait son temps, et je suis plutôt tenté de switcher. Or, sans compter les 5 années d'archive (5 juillet 2002) et les 1250 messages que j'ai stocké sur la bête qu'il me faudra garder en forme d'une façon ou d'un autre, il y a aussi la liste msn (170 tronches, grosso modo), les redirections de mes différentes adresses existantes... Argh. Finalement, je vais la garder.
Mais je vais aussi en lancer une nouvelle.
Nouvelle adresse que j'ai par ailleurs choppée avec...le nouveau nom de domain ("Ooooh" de la foule). Car vous pouvez maintenant acceder à votre site favori (hors pr0n) via la fabuleuse adresse http://bureaublog.net. Et votre serviteur est joignable via monsieurk "at" cette belle adresse. Voilà.
Peanut Butter Jelly Time - Eeek
> J'attends. Va y avoir un molteux, claro, pour l'ouvrir...
Slift le Volté - La Zone du Dehors
Seesmic. Ben voila. Depuis quelques semaines/mois que je suivais l'affaire (via Seesmix, le blog de Loïc le Meur et son twitter principalement) du développement de cette merveilleuse petite boîte susnommée, j'ai enfin reçu via un merveilleux petit message twitter ma clé d'invitation à la pré-alpha. In the V.I.P. with the movie stars.
Mais déjà, qu'est ce que c'est, Seesmic ? Hé bien, pour résumé, c'est un service de micro-vidéo-blogging et de social-networking monté par M. Le Meur, assez similaire à une version vidéo de Twitter. Contrairement à Youtube, qui est un service d'upload de vidéos, on touche ici plus au domaine de la conversation. Donc, system de following, followers, vidéos, tout ça tout ça.
Après deux jours, petit constat. Seesmic, c'est chronophage. Dieux de dieux, il va falloir que je me retienne ! Dès qu'un débat est lancé, on suit les posts, enregistre une réponse, retourne regarde rce qu'on a loupé en enregistrant, etc. Ceci étant dit, c'est génial. La communauté pré-alpha (US/UK/Internationale comme FR) est dans l'ensemble intelligente et accueuillante, pas de video trollings ou flaming pour l'instant. Ce qui est un bon score. 90% des habitués de cette communauté sont constitués de bloggueurs, je dirais même de serial-bloggueurs pour la plupart, rompus aux arts anciens et mortels de Twitter, Facebook, Digg, StumbleUpon, del.icio.us (c'est marrant il a l'air down) et reddit. Le Tao du CSS, l'Ecole du DotClear d'Argent. Effet direct, l'expansion de ma liste Twitter (couplée avec l'arrivée parmis les "twits" de Kiltak de [GAS] et le Marf' national).
Néanmoins, la communauté ne saurait être un argument vraiment valable, car une fois Seesmic lancé et ouvert à tous, la timeline ne pourra tout simplement pas suivre, et ressemblera plus à celle de Twitter.
Alors, le reste vaut-il le coup ? Pour l'instant, je pense que oui. Les quelques tests que j'ai pu faire, qu'ils soient de micro-vlogging de groupe ou de débats entre plusieurs utilisateurs par vidéos interposées sont plus que concluants. Evidemment, on reste en stage pré-alpha, et l'interface (et les serveurs) auront à sérieusement s'améliorer. Mais c'est un très bon début, et Seesmic a compris quelque chose d'essentiel : sans interaction avec le reste du monde, le service est promis à la mort. D'où l'intégration des vidéos via Twitter, ou encore la possibilité d'avoir un player intégré (comme sur ce post).
Sinon, quelques trucs dont je m'étais promis de parler. Tout d'abord, la fabuleuse vidéo de Gizmodo "tuant" tous les écrans TV du CES 2008. J'adore ces mecs, même si les quelques présentateurs sur stands sont à plaindre.
Autre révélation toute pleine de roxxance, l'annonce du nouveau concept d'Art Lebedev, responsable de l'Optimus, un clavier à touches OLED (c'est à dire que les touches sont des petits écrans en eux-même, on peut le voir en action ici) qui sera l'Optimus Tactus, un clavier qui serait une dalle LCD supportant le multi-touch (un peu comme l'iPhone si vous voulez). Les quelques images donnent gravement, mais alors gravement envie.
C'est tout pour aujourd'hui, en m'excusant par avance d'avoir chargé le post en liens. Mais, que voulez-vous, on ne se refait pas.
Ah, ouais, j'oubliais. J'ai un code en rab' pour Seesmic. Y'a des intéressés qui s'en serviraient suffisament ou je fais tourner par mes autres réseaux ?
Talky, friendly, geeky - Eeek
"Il en faut peu pour être heureux
Vraiment très peu pour être heureux
Il faut se satisfaire du nécessaire
Un peu d'eau fraîche et de verdure
Que nous prodigue la nature
Quelques rayons de miel et de soleil."
Baloo - Le Livre de la Jungle
Allez, il en fallait bien un, parce que quand on blog bloggue blogue est sur la blogosphère, on se doit de réagir aux grands mouvements de mode. Alors parlons un peu de Twitter (oui, to twitter, gazouiller. Mine de rien, ça sonne mieux en anglais.). Et puis merde, pourquoi encore un service pour raconter sa vie quand on passe son temps à faire coucou sur les walls des amis sur Facebook avant de changer son message MSN, le tout en updatant son blog ?
La première réaction, c'est souvent de trouver ça plutôt inutile, en se disant que "c'est trop", et que c'est bien plus sensé de rester à utiliser ce qu'on a. Mais, pour être tout à fait honnête, la plupart d'entre nous disait ça des blogs et de Facebook y'a encore pas si longtemps que ça... Et puis finalement, on commence à voir des flux twitter sur les sites qu'on fréquente, on en entend parler sur les blogs... Et on se dit que mine de rien, c'est pratique et classe.
Comme le dit si bien Wikipedia, Twitter est un service de social networking et de micro-blogging. Le côté social, c'est d'utiliser les tweets (oui, on appelle ça des tweets) comme dire où on est, où on va. Comme le statut Facebook, ou encore les messages d'absence sur messengers divers. Le côté blog, par contre, c'est condenser un message sur sa petite vie en 140 caractères maximum. Perso, c'est là que je lui trouve tout son intérêt, surtout pour deux raisons. D'une part parce que ça permet de "purger" son blog des messages persos qui, la plupart du temps, n'ont pas un grand intérêt en dehors des quelques jours qui suivent l'annonce (grand maximum). Et on se retrouve forcés de trouver un peu plus de consistance aux billets qu'on écrit, ce qui n'est pas vraiment un mal. Donc, Twitter est un outil d'assainissement global de la blogosphère (c'est dingue de voir de quoi l'esprit humain arrive à se persuader pour se justifier).
L'autre avantage, à mon sens, c'est que c'est ce genre de petits trucs qui poussent les utilisateurs à écrire quelque chose, mettre en forme leur pensée parce que d'autres vont les lire. Que celui qui ne s'est jamais découragé devant la page blanche de rédaction de billet me jette le premier octet, sans parler de ceux qui n'ont même pas de blog. Twitter, à sa modeste mesure, permet un petit exercice de l'esprit du côté de la rédaction, et ça n'est franchement pas plus mal. Je reprendrais juste les mots de Monsieur L., dans la plus pure tradition du Golgoth de Damasio, franco de porc : "Le blogging, c'est comme la masturbation, faut le faire parfois juste par hygiène". Et puis, la plupart d'entre nous se sert du message perso IM pour ça, alors autant lui réserver une petite place à part et faire l'effort d'entretenir sa pensée, si courte et personelle soit-elle. Et pour ceux qui veulent que le message perso et les tweets ne fassent qu'un, Dieu (et une bonne dose des merveilles des communautés sur le Net) créa Twessenger. Je sais que ça fera plaisir à Monsieur L.
Au déla de l'utilisation via twitter.com ou via le telephone (parce que bon ça coute à force), on trouve un monstrueux paquet d'app. Par manque de recherche, j'ai surtout utilisé Twitteroo, tout simplement parce qu'il était conseillé sur twitter.com, mais je viens de switcher sous Snitter, et y'a pas photo, je trouve ça moultes fois plus pratiques (et joli).
Mais Twitter peut aussi avoir d'autres applications. Je suis tombé par hasard sur ma préférée, crée par un designer responsable de quelques-un des thèmes Blogger. Cette petite merveille s'apelle Foamee, et permet très simplement d'envoyer une "reconnaissance de dette" d'une valeur d'une bière ou d'un café à un ami via Twitter, en ajoutant la raison de la dette susnommée. La page d'accueil nous montre les derniers I.O.U. (I owe you) envoyés. Je trouve ça super sympa et assez mignon dans son genre, en fait. Et il y a un service pour valider les dettes payées. Faudra que je m'essaye à cette histoire.
Obsédé textuel - Eeek
"J'aurais pu être pressée sur le coeur d'une enfant
Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant
Ou être le pliage d'un gamin de huit ans
Et voler dans les airs sous les rires des enfants
Ou être dans les pages d'un livre d'histoire
Qui dit que le chemin est encore tellement long"
Renan Luce - Je suis une feuille
Bill Gates, par contre, vient de présenter son dernier keynote Microsoft (MicroHaxx M$ W!nd0b3 sUx, etc.) au CES 2008. Et comme Billou (je peux t'appeler Billou, hein ? Merci.) est encore un grand n'enfant, il a fait une petite vidéo avec des copains. Cest-y-pas-mignon !
Personal favorite, Barack Obama "Bill...Shatner, de Star Trek ?"
Franchement, j'ai trouvé tout ça bien poilant. Ca a du bon d'être à le fois l'homme le plus riche du monde et le geek le plus connu à l'ouest de l'Amiga.
Ah, et pour ceux que ça interesse, il a aussi fait une partie de Guitar Hero III avec Slash qui vient poser son solo sur la scène. Hé ouais.
Billou, je compte sur toi, reste Ghetto.
"Bro's before ho's, man !" - Eeek
"There's not much I know about you
Fear will always make you blind
But the answer is in clear view
It's amazing what you'll find face to face"
Daft Punk (feat. Todd Edwards) - Face to Face
Bon, 2007, it's over comme dirait M. Van Damme. Xin nian hao à tous, donc. Pas de résolution spécifiques, notamment sur la fréquence des posts, car avec l'arrivée de Twitter (là, à droite) c'est devenu nettement plus rapide et facile de raconter sa vie. Donc, il me faut des sujets un tant soit peu intéressants avant de poster. Dur.
Ceci étant dit, pendant que je cause de Twitter, vous noterez que j'ai rajouté une autre jolie petite colonne, qui corresponds aux twitterismes de Monsieur L., hop. Because I can.
Because I can. La phrase-signature de Ryan Sohmers, l'auteur de Least I Could Do. En y repensant, je suis surpris que ces messieurs L. et Benj n'aient pas déja parlé de cette bible du one-liner et de la belle vie. J'éviterais de m'attarder dessus ceci dit. C'est beau, c'est très bon.
Tout de même, en les lisant au fur et à mesure, on ne peut pas s'empêcher de rêver être un personnage de Sohmers et DeSouza, par moment : comme le dit la toute récente chanson du teaser vidéo, "I wanna be consequence-free". C'est là toute l'essence du charisme de Rayne et de ses potes. Pas d'hésitation à lacher le one-liner qui tue en regardant les courses de la personne devant au supermarché ou à la nana d'à côté dans le bar, aucune autre non plus pour se pointer en Stormtrooper au boulot ou s'infiltrer dans les conduits d'aération du bureau de son pote pour dire bonjour. Toujours pas pour se trimballer à poil un peu partout, partir chercher les Tortues Ninjas dans les égouts, ruiner la vie sociale de ses amis ou sauver un couple qui se plante sur l'autoroute. C'est ça, au final, la vraie belle vie : l'absence totale d'intérêt pour les conséquences de ses actions. Holy crap ! I almost gave a fuck. L'essence même de la félicité de nos plus jeunes années toutes égoïstes. La vie parfaite dans un monde qui n'est qu'un terrain de jeu, les conséquences c'est pour les autres.
Ah, vivement que je gagne à EuroMillions, que je sois riche, heureux et consequence-free.
Sans transition ni rapport aucun, les 10 jours back in Paris furent des plus agréables, et bien remplis de revoyures de potes divers. J'ai enfin pu repasser à la maison à la Marine, avec, entre autres les 3 terribles frères Laplane (j'avais réussi à ne pas voir le Tim plus tôt), Yaco, et autres. Une soirée bien trop courte, mais au moins ça ressource de se la coller à coup de vraies choppes.
Because I Can - Eeek
"Like a true nature's child
We were born, born to be wild
We can climb so high
I never wanna die"
Steppenwolf - Born to be wild